Samedi brouillard en noir & blanc II : réflexions
Voili voilà
Nous avons :
1) la photo originale en couleur
2) la même en n&b
3) la même avec une correction des niveaux personnelle (affichée dans un précédent article)
4) la même avec la correction des niveaux automatique sous photoshop
Bon, la quatrième est la « plus réussie » ; la moins plate … la plus spectaculaire.
Mais la retouche est évidente et le rendu surnaturel du lieu est à mes yeux plus associé à la retouche qu’au brouillard présent ce jour là ….
Un peu sur-saturée il est vrai …
Alors je peux tenter une correction des niveaux personnelle différente :
Mais bon à la base, le temps est gris et la photo aussi … alors je crois que je préfère encore la version n&b de base, grise et plate.
Et je retombe sur mon avis de base en photo de ne pas chercher le spectaculaire et d’assumer d’autres critères de choix … pfff …
(à suivre)
« Il n’y a que les idiots qui n’aiment pas le gris » F. Mitterrand
Laisser pisser le mérinos 
octobre 2010 à 13:51
Suis d’accord avec toi sauf que la retouche n’est pas évidente sur celle où tu as utilisé photoshop na automatiques: ça aurait pu être une lumière spectaculaire comme il y en a parfois quand le soleil perce le brouillard. Mais comme tu précises que le jour était gris et plat alors elle n’a pas de sens ( la photo retouche automatique) et je préfère sans aucun doute la dernière. Uff.
octobre 2010 à 18:32
c’est sur que le niveau auto est très artificiel ici !
mais au final je n’arrive pas à savoir ce que je veux sur cette image .. héhé.
merci pour les coms et le passage régulier en tout cas !
octobre 2010 à 14:14
Me demande si finalement je prefere pas la toute premiere moi…..celle en couleur…. l’atmosphere fait tres bayou de Louisiane….; on est vraiment dans « la brume elctrique » de lee burke….et si tu es dans la recherche du non spectaculaire, de la non retouche….cette photo est pr moi « parfaite »….
Sacré Tonton….
octobre 2010 à 18:35
merci de ce commentaire cher collègue !
comme tu peux le voir ta remarque m’a incité à réfléchir !-)
au final j’en sais trop rien, j’aviserais dans quelques temps.